Fred Forest on Wed, 12 Nov 2003 10:41:17 +0100 (CET) |
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Re: [nettime-fr] humeur d'un jour, humeur de toujour s en attendant le déluge ! |
Voilˆ ci-aprs les gesticulations d'une coquette de la rŽpublique, certes dŽcatie mais qui cherche toujours ˆ sŽduire ...
C'est pitoyable de voir la chute d'une courtisane de l'Žtat !
Car non seulement aprs avoir ŽcumŽ, pompŽ et bŽnŽficiŽ pendant des annŽes des subsides de l'Žtat voilˆ que la courtisane s'Žprend de vertue !
Et que propose t'elle: une grve de la crŽation ?
En clair, "vous les jeunes espoirs, je meurs, suicidez vous ..."
C'est bien lˆ le luxe indŽcent et arrogant de certains, car en lisant cela je me demande si des artistes africains, amŽricains, indiens, chinois et que sais je encore ont le luxe de se payer 'une grve de l'art' ....
La crŽation n'a rien ˆ voir avec les syndicats et la CGT des postiers !
La politique demande des actions politiques dans la polis en votant et la crŽation est une affaire privŽe, individuelle, collective (faire face ˆ soi ou une communautŽ) alors franchement ....
le sens du ridicule peut tre parfois salvateur.
Et avant de parler de lachetŽ des 'artistes prŽoccuppŽs ˆ courir les couloirs de la DAP': Cela smeble te correspondre ˆ merveille, cher Fred qui passe le plus de ton temps chez Cornette de St Cyr royaliste notoire, ou chez cardin droitier de premire et sans parler de tes courbettes au cabinet du 1er ministre et chez aillagon...
pour ensuite balancer sur cette liste chaque coupure de presse qui parle du professeur emerites des universitŽs !!!!
J'ai quand mme du mal d'entendre des leons d'Žthique au sujet du comportement ˆ avoir face ˆ l'Žtat de la part d'un fonctionnaire syndiquŽ de surcro”t !
Pour jouer un double jeux encore faut il tre intelligent pour tre crŽdible, et il est sur que dans ton cas le silence serait ˆ ton bŽnŽfice !
Cordialement
ValŽry Grancher
----- Original Message -----From: Fred ForestTo: Nettime-fr@samizdat.netSent: Wednesday, November 12, 2003 2:39 AMSubject: RE : [nettime-fr] humeur d'un jour, humeur de toujours en attendant le dŽluge !A PROPOS DE LA GREVE GENERALE DE L'ART !Salut Olivier,Un bogue de la communication dans les rŽseaux informatiques (dont je suis peut-tre le seul responsable ?) a privŽ la liste de nettime-fr de la lecture de la correspondance, ci-dessous. Correspondance que je t'ai adressŽe le 10 novembre ˆ 12h13 en attendant le dŽluge, comme toi, mais pas les bras croisŽs.... Le mal sera donc rŽparŽ.Par contre Ne ne t'etonne donc pas si cette correspondance n'est plus d'actualitŽ pour toi1- Je comprends bien que tu sois dŽsabusŽ. On le serait ˆ moins ! Je pense pour ma part que plut™t que de tomber malade ˆ cause de ces choses-lˆ, il faut soigner le mal en supprimant ses causes. C'est pourquoi, entre autres, j'ai montŽ et animŽ ce forum sur la transparence des institutions culturelles publiques en France dans le cadre des " Rencontres Nationales des artistes plasticiens de la Villette " aux quelles tu fais allusion, avec, ˆ la table, Alain Quemin et trois directeurs de FRAAC...Ces trois derniers s'Žtant copieusement fait siffler ˆ plusieurs reprises par une salle comble et en verve.Que tu me comprennes bien, Olivier, il ne s'agit nullement d'un combat dŽsespŽrŽ ou na•f de ma part, mais d'un combat legitime, systŽmatique, rationnel, organisŽ et crŽatif. Il faut tout simplement que les artistes cessent enfin d'avoir le complexe de l'assistanat et de la dŽpendance. J'ai dŽjˆ obtenu quelques modestes rŽsultats dans cette dŽmarche. Malheureusement, je suis encore trop isolŽ dans cette action de dŽnonciation. Les artistes, prudents ˆ l'extrme, font preuve hŽlas ! en general, en tout cas trop souvent, d'une immaturitŽ et d'une l‰chetŽ rares, qui justifient tout ˆ fait la situation dont ils p‰tissent souvent...Pour tenter de forcer les choses par une inscription sociale en dehors des allŽgeances politiques habituelles (et combien dŽcevantes au rŽsultat !), j'ai ŽtŽ ˆ l'origine l'electron qui a impulsŽ la crŽation de la FRAAP ! (Ce que personne ne sait obligatoirement, et ce que personne ne dit jamais en tout cas) D'autres talents, d'autres Žnergies, d'autres contributions, et non des moindres par leurs mŽrites respectifs, ont entŽrinŽs son existence.Je ne suis, ni un homme d'appareil, ni un dŽfenseur du corporatisme, aussi ŽclairŽ soit-il, c'est pourquoi je laisse le soin dŽsormais, ˆ d'autres, de gerer cet outil prŽcieux, beaucoup mieux que je ne le ferai moi-mme.Encore membre du conseil d'administration de la FRAAP (Žlu avec le plus petit nombre de voix !) je me contenterai donc d'en tre un modeste impulseur d'idŽes,jusqu'au moment o j'en serai congŽdiŽ, sans doute, un jour, car tu t'imagines bien que mon discours critique ˆ l'Žgard des artistes, eux-mmes, et mes positions avŽrŽes de franc-tireur, ne me mettent pas en position de confort idŽal. On verra bien ! Peu importe, je n'en ai rien ˆ prŽserver autre que mon indŽpendance et ma libertŽ de parole devant qui que ce soit. Ras le bol la langue de bois.Que les artistes se reveillent un peu, et agissent ! au lien de penser Žternellement que leur seul et unique salut se trouve dans les couloirs de la DAP.En ce qui concerne ce combat, pour la transparence des acquisitions, comme fer de lance prioritaire (nous sommes en dŽmocratie, non ! parait-il ?) il restera, encore celui contre l'opacitŽ, dans la nomination des responsables, la dŽsignation des membres des commissions, l'attribution des bourses, des commandes publiques, la reprŽsentativitŽ des artistes, mis ici, ou lˆ commme des pots sur une Žtagre. J'en passe et des meilleurs. La transparence est en bonne voie malgrŽ tout. Elle fait son petit bohnomme de chemin, avec l'espoir d'aboutir un jour concrŽtement, par l'action que je poursuis avec obstination, c'est vrai, auquel j'aimerai que d'autres me proposent de se joindre.Les chances avancent. Mes interventions au SŽnat, lors du colloque des 16 et 17 octobre 2003 pour le XXVme anniversaire de la loi du 17 juillet 1978 sur l'accs aux documents administratifs, comme les conversations que j'ai eues avec la PrŽsidente de la CADA en tŽmoignent, autant que les approches que j'ai pu avoir ˆ ce sujet avec certains dŽputŽs de partis politiques, il faut le constater, moins frileux et moins bavards que d'autres. Un peu de patience, et on consatera bient™t les premiers rŽsultats. J'en prends le pari, et je garantis que, d'ici trois ans, au plus, Beaubourg publiera le prix de ses acquisitions, auprs de galeries franaises, comme celles, par exemple, d'Yvon Lambert, Daniel Templon, Durand-Dessert et d'autres galeries encore.. ou bien de galeries amŽricaines, plus nombreuses certainement (?), pour soutenir sans doute l'Žconomie de ce grand pays de la liberte par le biais original de l'art minimal !(http://www.fredforest.org/proces)2- Pour ce qu'il est du ridicule auquel on s'exposerait en lanant une grve gŽnŽrale de l'art : non, pas du tout, tu te trompes mon cher Olivier ! On ne risque aucun ridicule ! (Mme quand on est victime comme tu sembles le signaler, toi-mme, d'une hŽrŽditŽ en rapport avec ses origines belges :-) Ce sont les sbires du minstres de la culture que tu stigmatises, si bien, qui seront finalement l'objet du ridicule que tu crains !Comprends-moi bien, Olivier, ˆ dŽfaut de plasticiens qui se mobilisent par milliers dans la rue, il faut prendre cette proposition de grve gŽnŽrale des artistres plasticiens au second degrŽ, et monter une opŽration mediatique qui, par le biais d'une fiction crŽative, accredite cette simulation de grve. Une simulation qui aura pour objet, par les armes corrosives de l'humour, de la parodie et de la distanciation ludique et critique, relayŽs par l'information, de mettre le (les) problŽme sur la place publique.Si tu avais une meilleure connaissance d'une pratique artistique qui se nomme l'art sociologique, tu concevrais immŽdiatement les rŽsultats concrets qu'on peut attendre de cette grve gŽnŽrale de l'art, mais c'est vrai, hŽlas ! que dans les ecoles d'art de la RŽpublique, des professeurs consciencieux s'attachent beaucoup plus ˆ enseigner l'art contemporain du marchŽ, que celui qui dŽrange.C'est normal. C'est humain.C'est bien de chez nous. C'est bien dans l'esprit du temps. Cela changera un jour, si nous faisons (nous les artistes) en sorte que a change un jour ! Sinon le monde continuera ˆ tourner carrŽ.3- Enfin, Olivier, pour le CIPAC, du 27-28 novembre, comme dans toute rŽunion publique, la prise de parole est toujours quelque chose de difficile, surtout face au rempart institutionnel. Ils ont tous lˆ tous-lˆ, en rangs serrŽs, au coude ˆ coude (avec, bien sžr, le voyage et l'h™tel payŽs, neuf fois sur dix, sur les deniers publics) en leur qualitŽ de professionnels et d'experts de la langue de bois ! (Question inconvenante, au passage : c'est donc combien le budget allouŽ au CIPAC, cette annŽe, pour monter son cirque ?)Donc, n'y prends pas la parole Olivier au CIPAC, puisque tu t'y rends si courageusement. Reste muet comme une carpe. ClouŽ dans ton fauteuil. Inutile de te rendre malade, comme tu le prŽvois, car tu le seras de toute faon, malade, quoi qu'il en soit, comme tu l'expliques si bien.ALORS, FINALEMENT, POUR EN REVENIR A L'ESSENTIEL QUI VEUT BIEN LANCER - AVEC, OU SANS MOI !- LA GREVE GENERALE DE L'ART ? Faites vos propositions, la liste est grande ouverteFred Forest
Merci de me rŽpondre aussi rapidement par une proposition objective, c'est d'accord pour le lien sur ton site. Quand ˆ une grve gŽnŽrale personnellement je n'ai pas peur du ridicule je suis belge d'origine, quand ˆ d'autres j'en suis moins sžr.
Je me suis inscrit au CIPAC mais je ne suis pas sžr d'ouvrir ma gueule, j'ai pas envie de retomber malade.
Qu'est-ce qui est plus dure de la fermer ou de l'ouvrir ?
Franchement je ne sais plus.
ˆ bient™t
Olivier
le 9/11/03 18:53, Fred Forest ˆ forest@unice.fr a Žcrit :
ENFIN, LA GREVE GENERALE EST DECLAREE !
Salut Olivier,
La grve gŽnŽrale commence donc aujourd'hui ! Je trouve ton message relevŽ sur nettime ce jour particulirement pertinent. Et ton initiative exemplaire . Merci de nous indiquer ainsi la voie ˆ suivre.Nous autorises-tu ˆ le publier sur notre site du GIGA ?
http://impertinent.info/giga
Par ailleurs, cette idŽe de la grve des artistes est une idŽe dont je rve depuis toujours. Ne peut-on pas mettre ensemble sur pied un comitŽ d'organisation au dŽpart, par exemple, de cinq artistes plasticiens (de generations et de bords differents) pour le lancement d'une grve gŽnŽrale de la production des artistes plasticiens (?) Mesure hautement symbolique et perturbante pour les tenants du systme. Ensuite, bien sžr, cela fera boule de neige. Je demanderai ˆ Marc Voinchet de France Culture (Tout arrive, mme une grve gŽnŽrale des artistes plasticiens....) de nous inviter ˆ son micro (je le connais bien), pour asssurer l'information sur notre projet inŽdit en matire d'initiative sociale et culturelle. Je pense en effet que ce type d'information relve de la vocation mme de cette Žmission.Et ce n'est certainement pas Laure Adler qui pourra nous dŽmentir (?) Pour la suite, et dŽcliner le thme en long et en large, aucun problme pour des artistes, fussent-ils plasticiens, s'ils ont un peu d'imagination, et quelque chose dans le ventre, pour ne pas dire ailleurs... Il ne nous restera plus qu'ˆ faire une annonce officielle de la greve generale lors de l'ouverture officielle du CIPAC et ce sera gagnŽ. Qu'en penses-tu ?
Salut ˆ toi
Fred
www.webnetmuseum.org
www.fredforest.or
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RŽsumŽ de 4 jours de FŽdŽration des RŽseaux d'Associations d'Artistes Plasticiens ˆ La Villette
Donner la parole, peut-on vŽritablement la donner lorsqu'il faudrait la prendre ?
Comment avoir une parole lorsque celle-ci est niŽe par les tenants de la culture.
Il est Žtonnant de voir le micro entre les mains de critiques d'art tous masculins pour qui tout va bien, du c™tŽ de la presse comme du c™tŽ de l'institution, dŽpourvus de sens critique ils se dŽfendent surtout de faire la promotion des artistes.
(ben voyons on se demandait justement ˆ quoi ils servent, ˆ rien !)
Certes nous sommes donc d'accord ils n'ont leur place nul part et sont lˆ eux aussi pour parler ˆ la place des artistes et se prendre pour les vŽritables auteurs.
Le mensonge en guise de parole, le flot fait taire les paroles des artistes ˆ tout jamais dans un silence prophŽtique.
Il est Žtonnant de voir des paroles sincres et simples gŽnŽralement uniques face ˆ une assemblŽe de pratiquants du micro et des mots. La fracture est telle que l'on entend les bavards dont les mots ont perdus leurs sens mais qui pratiquent l'endormissement et la manipulation des informations.
Ce n'est que face ˆ 400 artistes qui posent des questions simples que l'on voit les manipulateurs pris ˆ leur propre pige et autistes aux questions posŽes qu'ils n'entendent tout simplement pas, car c'est leur place qui est illŽgitime.
Ils n'entendent mme pas les questions posŽes car elles sont dŽjˆ dŽformŽes quand ils croient y rŽpondre.
C'est ahurissant de vŽritŽ pour qui accepte de voir.
Je demande la disparition pure et simple de ces personnages de la culture qui s'arrogent le droit de parler aux noms des plasticiens.
A peine une parole d'artiste est formulŽe qu'elle glisse sur leur cerveaux rongŽs par le pouvoir et la manipulation.
De quelle droit crŽent-ils une collection avec l'argent de l'Žtat sans tenir compte de la vie de tous les artistes. Il sont lˆ non Žlus ˆ dŽcider de ce qui doit tre comme une multinationale de l'agroalimentaire dŽciderait des paysans.
Je ne vois pas d'autres solutions que la suppression pure et simple de tous ces a-fonctionnaires ou nŽo-parasites de la culture que tant qu'ils ne sont pas mis au RMI ne sauront pas ce que c'est qu'un artiste mis hors du contexte de l'art contemporain tel qu'ils aiment ˆ nous dŽfinir.
A leur politique culturel puissions-nous leur rendre la pareille.
Les mettre hors d'Žtat de nuire c'est les rendre aussi impuissant qu'ils nous ont rendu et c'est rendre la libertŽ aux artistes.
Un certain directeur de FRAC nous persuade qu'il faut absolument augmenter le budget de la culture car sans lui et ce systme les artistes seront sous le joug du libŽralisme. Ah
Encore un qui a peur de perdre son pouvoir et sa place et nous devrions cautionner a.
pour ceux qui aiment la politique de la table rase en matire culturelle, ils risquent d'en avoir pour leur argent, car la vengeance sociale par principe est sans appel.
En attendant une solution qui ne viendra pas je suis en grve de l'art
Olivier de SCHRYNMAKERS
http://art-contre-culture.com
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/arimbaud.html
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/direct3.html
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/page166pierresviolettes.html
Žcrit en 1992 au retour de New-York
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/txtpoemepolitique.html
RŽsumŽ de 4 jours de FŽdŽration des RŽseaux d'Associations d'Artistes Plasticiens
Donner la parole, peut-on vŽritablement la donner lorsqu'il faudrait la prendre ?
Comment avoir une parole lorsque celle-ci est niŽe par les tenants de la culture.
Il est Žtonnant de voir le micro entre les mains de critiques d'art tous masculin pour qui tout va bien, du c™tŽ de la presse comme du c™tŽ de l'institution, dŽpourvus de sens critique ils se dŽfendent surtout de faire la promotion des artistes.
(ben voyons on se demandait justement ˆ quoi ils servent, ˆ rien !)
Certes nous sommes donc d'accord ils n'ont leur place nul part et sont lˆ eux aussi pour parler ˆ la place des artistes et se prendre pour les vŽritables auteurs.
Le mensonge en guise de parole, le flot fait taire les paroles des artistes ˆ tout jamais dans un silence prophŽtique.
Il est Žtonnant de voir des paroles sincres et simples gŽnŽralement uniques face ˆ une assemblŽe de pratiquants du micro et des mots. La fracture est telle que l'on entend les bavards dont les mots ont perdus leurs sens mais qui pratiquent l'endormissement et la manipulation des informations.
Ce n'est que face ˆ 400 artistes qui posent des questions simples que l'on voit les manipulateurs pris ˆ leur propre pige et autistes aux questions posŽes qu'ils n'entendent tout simplement pas, car c'est leur place qui est illŽgitime.
Ils n'entendent mme pas les questions posŽes car elles sont dŽjˆ dŽformŽes quand ils croient y rŽpondre.
C'est ahurissant de vŽritŽ pour qui accepte de voir.
Je demande la disparition pure et simple de ces personnages de la culture qui s'arrogent le droit de parler aux noms des plasticiens.
A peine une parole d'artiste est formulŽe qu'elle glisse sur leur cerveaux rongŽs par le pouvoir et la manipulation.
De quelle droit crŽent-ils une collection avec l'argent de l'Žtat sans tenir compte de la vie de tous les artistes. Il sont lˆ non Žlus ˆ dŽcider de ce qui doit tre comme une multinationale de l'agroalimentaire dŽciderait des paysans.
Je ne vois pas d'autres solutions que la suppression pure et simple de tous ces a-fonctionnaires ou nŽo-parasites de la culture que tant qu'ils ne sont pas mis au RMI ne sauront pas ce que c'est qu'un artiste mis hors du contexte de l'art contemporain tel qu'ils aiment ˆ nous dŽfinir.
A leur politique culturel puissions-nous leur rendre la pareille.
Les mettre hors d'Žtat de nuire c'est les rendre aussi impuissant qu'ils nous ont rendu et c'est rendre la libertŽ aux artistes.
Un certain directeur de FRAC nous persuade qu'il faut absolument augmenter le budget de la culture car sans lui et ce systme les artistes seront sous le joug du libŽralisme. Ah
Encore un qui a peur de perdre son pouvoir et sa place et nous devrions cautionner a.
pour ceux qui aiment la politique de la table rase en matire culturelle, ils risquent d'en avoir pour leur argent, car la vengeance sociale par principe est sans appel.
En attendant une solution qui ne viendra pas je suis en grve de l'art
http://art-contre-culture.com
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/arimbaud.html
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/direct3.html
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/page166pierresviolettes.html
Žcrit en 1992 au retour de New-York
http://perso.wanadoo.fr/ode.s/txtpoemepolitique.html